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  • : le blog lepapouilleur par : Michel
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28 mars 2020 6 28 /03 /mars /2020 16:53

UN AUTRE REGARD SUR ….

Dès le début des études et formations en esthétique on a toujours considéré l’esthéticienne de base comme une parfaite idiote à qui on devait apprendre un certain nombre de « protocoles » avant de la lâcher dans la nature.

La plupart d’entre nous a donc suivi un certain nombre de formations pendant lesquelles on lui disait « tu fais ça, puis ça et ça pour terminer » et on considérait que c’était suffisant pour se lancer dans la nature et aller bosser. Cet enseignement qui, au début, n’était destiné qu’aux soins du visage, aux soins du corps à la beauté des mains et des pieds et aux épilations s’applique maintenant aux massages. On nous apprend des « protocoles » en partant du principe que nous sommes totalement incapables de réfléchir à ce que nous faisons et que nos connaissances théoriques sont nettement insuffisantes pour comprendre le pourquoi du comment.

 

C’est pourquoi j’ai envie de porter un autre regard sur certains soins.

 

 

 

 

UN AUTRE REGARD SUR L’EPILATION

 

1°) L'anatomie du poil

 

 

 

 

 

 

Les poils sont des phanères se présentant sous l'aspect de filaments cornés implantés obliquement dans le derme par invagination de l'épiderme. Les poils se composent donc d'une tige libre à la surface de la peau, ou poil proprement dit, et d'une partie invisible enchâssée dans le derme, la racine, dont l'extrémité en cupule (le bulbe) reçoit la papille vasculaire nourricière.

 

Le poil comporte des annexes : une glande sébacée, l'ensemble formant l'appareil pilo-sébacé ; le muscle érecteur, dont la contraction, sous l'influence du froid, d'une émotion, est à l'origine du phénomène de la "chair de poule". Grâce aux réseaux nerveux ramifiés entourant les follicules pileux, les poils participent aux sensations tactiles.

 

La distribution des poils sur le corps est inégale. Dans la répartition et l'abondance de certains d'entre eux intervient une hormonodépendance ; ainsi, l'apparition de la pilosité ambo-sexuelle (pilosité pubienne et axillaire (aisselle)) fait partie des caractères sexuels secondaires marquant la période de la puberté.

 

Les follicules pileux se forment une fois pour tout pendant les premiers mois de la vie intra-utérine et bien que les poils auxquels ils donnent naissance puissent être très différents selon le sexe ou la race, leur nombre est toujours le même. Au cours du développement de l'être humain, trois sortes de poils se succèdent :

a - le lanugo, très fin, frisé, non pigmenté, qui couvre le fœtus et tombe au septième mois de la grossesse pour être remplacé par ;

b - le duvet, également incolore, doux au toucher et ne dépassant pas 2 cm de long ;

c - les poils définitifs, pigmentés, qui plus ou moins longs et serrés, couvrent diverses parties du corps, en particulier le crâne (cheveux), les aisselles, les régions sexuelles. Une partie du duvet ne se transforme en poils définitifs qu'au moment de la puberté, la répartition et la densité de la pilosité dans certaines régions (joue, ventre, pubis) variant considérablement selon le sexe.

 

Pour résumer, la femme possède un nombre de poils identiques à ceux de l'homme. La différence provient de la production hormonale. Les testostérones de l'homme font maturer le poil sur une plus grande surface que chez la femme. La production hormonale de la femme fait que les poils sur le visage, sur la poitrine et sur le dos demeurent du duvet tout au long de sa vie. Ce sont des hormones mâles qu'on appelle les androgènes, sécrétés par la glande surrénale en relation avec la production d'oestrogène des ovaires, qui sont responsables de la transformation du duvet au niveau des aisselles, du pubis, des jambes et des bras en poils définitifs longs, épais et colorés chez la femme.

 

Une femme, qui développe une pilosité qui ressemble à un homme, hirsutisme, souffre d'une des deux affections extrêmement rares où les hormones mâles (androgènes) sont sécrétées en trop grande quantité : l'hyperplasie congénitale des surrénales, où l'hypersécrétion de l'hormone mâle peut être freinée médicalement ; ou bien une tumeur virilisante de l'ovaire ou de la surrénale. On l'enlève chirurgicalement, et les signes de virilisation disparaissent.

Donc, il n'y a pratiquement pas de femmes qui ont des poils en trop. Il y a seulement des femmes qui ont des poils plus visibles parce qu'elles ont une pigmentation de couleur brune ou noire par rapport à que celles qui en ont une châtaine ou blonde.

 

L'ensemble de la surface de la peau est en mesure de percevoir plusieurs sensations, mais à des degrés variables. Ainsi, il existe une différence selon l'étendue du système pileux ; celui-ci dispose des terminaisons libres des fibres nerveuses adaptées surtout à la perception de la douleur, et de fibres entourant les racines des poils. Ceux-ci sont particulièrement sensibles au contact, leur rôle récepteur tactile est stimulé par le changement de position du poil qui fonctionne comme un levier élastique.

 

 

 

2°) La physiologie du poil

 

 

Le refroidissement du corps

 

Ce n'est pas pour rien qu'aux endroits du corps les moins exposés à l'air, soit aux aisselles et à l'aine, se retrouve la plus forte densité de poils. Ceux-ci conservent plus longtemps la sueur pour permettre un refroidissement plus efficace. Les poils jouent le même rôle qu'un T-shirt pendant une canicule l'été. En absorbant la sueur, il ralentit l'évaporation et prévient ainsi la déshydratation.

 

 

La protection

 

Les poils protègent les parties génitales contre les coups et les irritations dus aux frottements. Les poils sur les jambes et les bras protègent aussi contre les irritations dues au frottement des vêtements.

 

 

La sensibilité

 

Les poils font partie intégrante du sens du toucher, ils ont des récepteurs tactiles adaptés à la douleur. Ainsi, c'est eux qui détectent la chaleur intense d'un objet en premier et déclenchent le réflexe de recul. Il vous est sûrement arrivé de brûler vos poils avec une allumette sans que votre peau ne le soit.

 

Comme les poils réagissent au froid avec leur muscle érecteur causant la chair de poule, ils sont sensibles aux variations de température. Ils jouent un rôle de thermomètre avertisseur du système nerveux autonome. Ils détectent plus rapidement et de manière plus précise le changement de température. Ces informations sont essentielles pour permettre au corps de réagir le plus rapidement possible à une variation brusque de la température pour maintenir sa température constante.

 

S'il fait très chaud le corps baisse son tonus musculaire, augmente le débit de la circulation sanguine aux extrémités et les glandes sudoripares font évaporer de l'eau. S'il fait froid, le corps augmente son tonus musculaire, provoquant le frisson qui produit de la chaleur, la circulation sanguine diminue aux extrémités et les graisses sont utilisées pour produire de la chaleur.

 

 

 

 

3°) Comment pousse le poil ?

 

 

 

Le poil se forme dans une sorte de poche sous la peau appelée « follicule pileux ». Ce que nous voyons sortir n’est que la tige du poil qui est la partie kératinisée, durcie, de ce tissu pileux qui pousse à partir du follicule.

 

Les êtres humains ont plus de follicules par centimètres carré que la plupart des autres primates, y compris les chimpanzés et gorilles. Puisque nos poils sont souvent fins et pâles, ils ne sont en général peu ou pas visibles à l’œil nu. Saviez-vous que notre front contient plus de follicules pileux que n’importe quelle autre partie de notre corps ? Les poils plus épais, chargés en pigment que la plupart d’entre nous considérons comme le poil « vrai » et que nous trouvons, en certains endroits gênant, est en fait appelé le poil terminal. Ce poil se trouve sur notre tête (cheveu), nos sourcils, sur nos jambes, sous nos bras et sur le dos.

Chacun de nous possède un rythme de croissance du poil différent qui dépend de l’âge, du poids, du sexe, du métabolisme, des hormones, de notre origine ethnique, des médicaments que nous prenons et d’autres facteurs comme le régime et l’environnement par exemple. Mais tous avons le même cycle pileux divisé en 3 phases :

 

 

1) Phase de croissance active (phase anagène), qui dure plusieurs années.  A tout moment, jusqu’à 85% de notre pilosité se trouve dans cette phase. C’est là que le poil est le plus chargé en mélanine.

C’est dans cette phase que le poil est le plus sensible au traitement laser. C’est pourquoi plusieurs séances sont nécessaires pour obtenir un résultat durable

 

2) Phase de régression (phase catagène), qui dure à peu près deux semaines, pendant laquelle le poil s’arrête de pousser mais n’est pas encore détaché. A peu près 3-4% de notre pilosité se trouve dans cette phase à un moment donné.

3) Phase de repos (phase télogène), celle-ci dure 5-6 semaines, après quoi le poil tombe, et, un nouveau poil se forme. Approximativement 1-13% de notre pilosité se trouve dans cette phase à un moment donné.

 

 

 

 

 

 

4°) Les différentes façons de se débarrasser du poil.

 

 

Depuis des millénaires, la femme et l’homme, ont souhaités se débarrasser d’une partie ou de la totalité de leurs poils. Pharaon était entièrement épilé afin de montrer sa pureté.

 

Suivant les époques, les régions, la religion et les mœurs, telle ou telle partie du corps a été rasée ou épilée. Par exemple, au moyen âge, les poils et cheveux du front étaient épilés chez la femme.

 

Le poil est pour beaucoup plus disgracieux qu’agréable ou esthétique et on a, de tous temps, cherché soit à le discipliner, soit à le faire disparaître. De nombreux moyens sont utilisés dans ce but : coupe, rasage, épilations.

 

 

Nous allons essayer de mettre un peu d’ordre dans ces différentes méthodes. 

 

 

La coupe :

Elle permet de discipliner le système pileux sans pour autant le supprimer. Pour ce faire on peut utiliser le ciseau et plus couramment, et de façon plus pratique, la tondeuse. La mode actuelle, chez l’homme, est le rasage du visage à la tondeuse ; cela permet de présenter chaque jour une « barbe de trois jours » qui fait baroudeur ou élégant-négligé ! On utilise aussi la tondeuse sur le torse et le pubis pour ne pas présenter une apparence qui pourrait faire féminine sans pour cela ressembler à l’homme de Cro-Magnon. Les dames qui utilisent la tondeuse le font souvent au niveau du pubis pour désépaissir le poil parfois surabondant dans cette région.

 

 

Le rasage :

 

Il supprime le poil en le coupant à ras la peau, sans pour cela le détruire durablement. La repousse est immédiate et dès le lendemain le poil réapparaît. De plus, le poil repousse plus dru mais pas plus abondant comme on l’entend dire parfois.

 

La crème épilatoire :

 

C’est un rasage chimique, le produit brûle le poil à ras la peau. La repousse est retardée par rapport au rasage mécanique de deux à trois jours mais le résultat est identique à celui du rasage.

 

L’épilateur électrique :

 

Il arrache mécaniquement le poil mais présente plusieurs inconvénients. D’une part, il est très désagréable à utiliser sur certaines parties du corps (aisselles, maillot ..), et d’autre part il casse beaucoup de poils ce qui rend la repousse très irrégulière et impose des épilations rapprochées.

 

La pince à épiler :

 

Elle permet d’arracher un à un les poils qui nous gênent. Ce sera par exemple la seule méthode à employer au niveau des sourcils. Au passage, si votre esthéticienne vous épile les sourcils à la cire : vous pouvez en changer, elle fait juste ce qu’on dit de ne jamais faire dans les écoles ! Et pour les régions plus étendues, il faut beaucoup de patience…

 

Les cires à épiler :

 

http://img.over-blog.com/300x225/0/33/36/85/epilation_integrale04.jpg

 

 

Il existe de nombreuses cires différentes. Elles ont toutes le même but : capter le poil dans la cire et l’arracher (bulbe compris) avec la cire. La repousse est retardée et le poil repousse plus lentement. Le choix de la cire à employer dépendra de la région à épiler, du type de peau, du type de poil… C’est la méthode la plus efficace utilisée dans les instituts de beauté. Il faut aussi noter que plus on épile, moins le poil repousse. Je reviendrais en détail dans un autre article sur les différentes cires utilisée actuellement.

 

http://img.over-blog.com/299x188/0/33/36/85/epilation_integrale03.jpg

 

 

 

 

 

L’épilation laser :

 

C’est une épilation progressive car on sait qu’environ 25% des poils repoussent en deux à trois ans. De plus, elle ne détruit pas les poils en phase de pousse. Cette méthode est donc longue et onéreuse.

 

 

L’épilation définitive à l’aiguille :

 

C’est la seule méthode vraiment définitive puisqu’on glisse une aiguille pour envoyer un courant électrique jusqu’au bulbe du poil qui sera donc ainsi détruit. Le problème est que c’est très long (on travaille poil à poil), douloureux (on brûle le poil) et que tout le monde sait que tout au long de notre vie, les poils poussent, et souvent là où on ne les attend pas. Oncle Jules n’avait pas à 20 ans des poils dans les oreilles et Tante Agathe n’en avait pas, au même âge, pour décorer son menton !

 

 

 

L’épilation à la lumière pulsée :

 

Dernière arrivée sur le marché. Elle présente les mêmes caractéristiques que l’épilation au laser. De plus on manque encore de recul pour voir si elle est vraiment sans conséquences sur la peau.

 

 

 

 

PRATIQUE DE L’EPILATION A LA CIRE.

 

 

C’est jusqu’à présent celle qui est le plus utilisée en institut traditionnel, c’est sur elle que je vais porter un « autre regard ».

 

Cette méthode, quelle que soit la cire employée, consiste à étaler de la cire sur la région à épiler puis à l’enlever avec le poil captif.

 

Alors quel sera le processus à suivre pour obtenir un bon résultat et faire cela correctement ?

 

 

Nous l’avons vu, le poil est un phanère.

Il est nourri par un capillaire artériel qui lui apporte les nutriments nécessaires à sa croissance et dispose d’un capillaire veineux qui lui permet d’évacuer les déchets produits par le travail de pousse du poil. Donc, arracher un poil, c’est aussi, ce qui est trop souvent oublié, créer un microtraumatisme, une micro-plaie qui peut tout à fait être la porte d’entrée de microbes ou de bactéries pathogènes ou de germes nocifs.

Et ces bactéries, nous en sommes tous porteurs, même sans en être malades.

La première chose à faire avant l’épilation sera donc de désinfecter la peau le plus efficacement possible. L’alcool à 70° est un excellent produit pour obtenir le résultat escompté.

 

Ensuite, nous allons procéder à l’arrachage.

La cire est un élément généralement collant et va être posée sur la peau. Si elle est posée directement sur la peau, lors de l’arrachage, en plus du poil et dans le meilleur des cas on enlèvera la couche desquamante superficielle de la peau. Au pire, en tirant la cire on va traumatiser la couche plus profonde de la peau et parfois même provoquer un hématome.

 

Il faut donc protéger la peau avant de procéder à l’arrachage.

Pour cela, il faut bien tendre la peau avec la main libre pour opposer une résistance à l’étirement, et surtout utiliser du talc ou très peu d’huile. Cela fera un film entre la cire et la peau. Ainsi, lors de l’arrachage la traction ne se fera plus que sur le poil qui est pris dans la cire. Faire toutefois attention : si on met trop d’huile ou trop de talc, il devient impossible d’étaler la cire sur la région à épiler !

 

Les poils sont arrachés… mais ce n’est pas terminé !

Il ne faut pas se contenter de l’issue victorieuse de notre combat sur le poil !

En effet, en arrachant le poil nous avons arraché le bulbe et on système capillaire. Ceci est souvent très visible sur les zones fortement poilues (aisselles et maillot) puisque nous voyons poindre des gouttelettes de sang.

En coagulant, ces gouttelettes risquent de bloquer la sortie du nouveau poil qui remplacera celui que l’on vient d’arracher. Pour stopper cette microhémorragie et nettoyer correctement la région en la protégeant au mieux d’une infection, il convient d’appliquer un produit utilisé chaque jour en chirurgie et qui remplit ces deux fonctions : l’eau de Dakin. Contrairement à l’alcool qui favorise l’écoulement sanguin, l’eau de Dakin le ralentit. Donc, ne jamais mettre d’alcool après une épilation.

Une autre erreur faite par certaines esthéticiennes est de mettre du talc. Quand on leur demande pourquoi, elles répondent que c’est dans le protocole qu’elles ont appris. Si cela est vrai, ce protocole est incorrect : il revient à mettre du plâtre dans une région suintante, ce qui va cimenter le pore et provoquer la repousse de poils sous peau. Le talc n’est absolument pas un désinfectant, contrairement à ce que répondent souvent les esthéticiennes. Un autre argument est : « je fais ça depuis dix ans et je n’ai jamais eu de problème ». Ce ne sont pas elles qui ont ce problème mais leurs client(e)s dans les jours qui suivent ! Car de même, si ceux qui roulent sans ceinture de sécurité ou envoient des SMS en conduisant n’ont jamais eu de problème, ceux qui en ont eu en faisant les mêmes choses s’en souviennent !

Pour terminer, afin de protéger les micro-plaies qu’on aura faites il conviendra d’adoucir la peau avec une huile post-épilation. Cette huile a aussi l’avantage de pénétrer dans le pore et de faire comme l’huile mise sur certains bocaux : les microbes ne peuvent plus pénétrer le temps que la cicatrisation soit commencée.

Sans oublier d’informer les personnes épilées de ne pas s’exposer à tout risque d’infection pendant la journée qui suit l’épilation, en évitant les piscines, les saunas, la plage….

 

Et le gommage dans tout ça ?

Certaines esthéticiennes conseillent de faire un gommage avant l’épilation. Médicalement parlant, c’est une erreur fondamentale. Mais ne sommes-nous pas là pour avoir un « autre regard » sur la chose ?

Le gommage va détruire la couche desquamante mais aussi le film hydrolipidique qui recouvre notre corps. Ce film hydrolipidique est l’élément principal de protection de la peau, du maintien de l’hydratation cutanée et de lutte contre les agressions extérieures. Le détruire revient donc à détruire notre armure naturelle pour nous exposer à tous les germes qui viendraient nous agresser. Le gommage étant déjà néfaste en période disons « ordinaire », il devient aberrant de le faire avant une agression programmée des tissus superficiels.

Nous avons un système de défense efficace et naturel, pourquoi le détruire alors que l’on sait qu’on va créer toutes les conditions d’une possibilité d’infection ? Aucun produit, aucune crème ne contient les germes saprophytes du film hydrolipidique : laissons donc la nature assurer cette protection ! Pour moi, enlever le film hydrolipidique avant une épilation c’est comme choisir de conduire une moto sans casque : on arrivera, si on a de la chance, à atteindre notre but ! Mais on n’a pas tous les jours de la chance.

 

 

EN CONCLUSION.

 

J’espère que ce regard différent sur une pratique habituelle de nos instituts de beauté pourra permettre à celles et ceux ayant déjà une pratique raisonnée de l’épilation et qui ont eu la chance d’apprendre un protocole correct de comprendre pourquoi ils font ce qu’ils font. J’espère que celles et ceux qui ont choisi une autre façon de faire réfléchiront et modifieront leurs pratiques, pour réaliser une prestation raisonnée et logique sans nuire à son efficacité.

 

 

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